A l'instant, en regardant dans l'angle de la pièce, juste derrière l'écran où j'écris, je vois une toile d'araignée. Je laisse toujours quelques toiles d'araignée, car les araignées se nourrissent des mouches. Mais ce soir, je me souviens de ce que dans mon enfance poitevine, on appelait les toiles d'araignée des "arantèles". C'est probablement en raison de la sonorité de ce mot, douce et élégante que la chose ne me répugne pas, au contraire. Et si au lieu de parler du "Net", de la "Toile", on parlait de l '"Arantèle" ? .
Un jour je vous parlerai du "bourrier".
Un jour je vous parlerai du "bourrier".
( c'était à la manière de Selection du Reader's Digest, je m'en aperçois à l'instant...)
oui, ceci est juste,dorénavant, j'irai sur l'arantèle. C'est bien plus tranquille. ..
RépondreSupprimerIci on dit"arniétoile"
RépondreSupprimerCher pp,
RépondreSupprimerje prends moi aussi, j'applaudis de mes dix(?) pattes grêles et vive l'arantèle! en plus cela rime avec tout plein de mots jolis ou rigolos: dentelle, tarentelle, majorelle, chanterelle, pisistrelle, et puis l'arantèle qu'est-ce que c'est bien pour ne pas perdre le fil avec la parentèle.
l'angevine araigne
Quel joli mot
RépondreSupprimerOn en danserait presque, il est aussi léger que l'ouvrage et bien moins repoussant qu'une "toile d'araignée" collante et gluée de poussière beurk