Et bien pourquoi ? Pisse-vinaigre de PPleMoqueur ! Pourquoi ne voulez-vous pas aller voir l'histoire d'un vrai truand ? Et bien parce que depuis Pulp Fiction, film remarquable, j'ai compris que les truands comme les terroristes sont des cons. Et oui ! pour la première raison que s'ils étaient intelligents, ils feraient autre chose. Ils seraient médecins, boulangers, écrivains, ouvriers, musiciens, profs, plombiers etc. bref, ils seraient utiles... Ah mais, ils ont eu une enfance malheureuse ! une adolescence à problème et pour Mesrine, la guerre d'Algérie. Ok ! si l'on prenait en compte tous ces éléments à décharge on ne pourrait plus sortir dans la rue sans être autant armé qu'eux tant il y en aurait à chaque coin de rue, des Mesrine excusables !
Ça va ! basta ! héros de merde ! bandit de mes deux ! Si je veux du romanesque j'en lis, j'en vois, mais uniquement à travers le filtre d'un artiste, d'un écrivain, d'un scénariste de fiction. Le vrai personnage de roman noir est mythique mais uniquement dans le cadre d'un projet artistique, pas historique. Le vrai héros peut ne pas l'être... Faire de Mesrine un héros de film c'est le hisser sans le vouloir au niveau d'un vrai héros de la "vie parallèle" fut elle courageuse, Jean Moulin ou un autre par exemple, et c'est là que par l'amalgame, volontaire ou non, le sens se perd... Faut pas confondre "Mesrine" et "Nuits et Brouillards", le quai des Orfèvres et la rue Lauriston, la brigade anti-gang avec la Gestapo...
Un J.P.Melville a été pernicieux avec ses films emblématiques connement dédiés à de prétendues morale et élégance du "Milieu", que même le cinéma américain dont il se recommande n'affichait pas. Cette esthétique du crime est idiote et ses effets perdurent.
La seule chose qui est dommageable c'est que Mesrine se soit fait descendre comme un vulgaire lapin et qu'il n'ait pas été jugé... La seule question importante et sans réponse c'est : pourquoi l'a-t-on descendu ainsi ? Y-a-t-il pour autant de quoi écrire une thèse ?
Je vais vous faire chier, mais ce sens de l'"Honneur" des truands me fait braire. Quel Honneur ? Quand le seul, le vrai est, pour commencer, de ne pas faire chier le monde sous prétexte qu'on a un flingue et qu'on sait s'en servir. Le truand est un fasciste qui est tellement con qu'il ne sait même pas qu'il l'est.
Comble du faux-cul, le réalisateur qui prétend ne pas prendre parti. Trou du cul, plutôt ! qui est-ce qui a fait un film sur Mesrine quand on pouvait, sans dommage pour l'histoire de France, oublier définitivement jusqu'à son nom ?
Et ne venez pas me parler de "romantisme" ou je me fâche !
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Ça va ! basta ! héros de merde ! bandit de mes deux ! Si je veux du romanesque j'en lis, j'en vois, mais uniquement à travers le filtre d'un artiste, d'un écrivain, d'un scénariste de fiction. Le vrai personnage de roman noir est mythique mais uniquement dans le cadre d'un projet artistique, pas historique. Le vrai héros peut ne pas l'être... Faire de Mesrine un héros de film c'est le hisser sans le vouloir au niveau d'un vrai héros de la "vie parallèle" fut elle courageuse, Jean Moulin ou un autre par exemple, et c'est là que par l'amalgame, volontaire ou non, le sens se perd... Faut pas confondre "Mesrine" et "Nuits et Brouillards", le quai des Orfèvres et la rue Lauriston, la brigade anti-gang avec la Gestapo...
Un J.P.Melville a été pernicieux avec ses films emblématiques connement dédiés à de prétendues morale et élégance du "Milieu", que même le cinéma américain dont il se recommande n'affichait pas. Cette esthétique du crime est idiote et ses effets perdurent.
La seule chose qui est dommageable c'est que Mesrine se soit fait descendre comme un vulgaire lapin et qu'il n'ait pas été jugé... La seule question importante et sans réponse c'est : pourquoi l'a-t-on descendu ainsi ? Y-a-t-il pour autant de quoi écrire une thèse ?
Je vais vous faire chier, mais ce sens de l'"Honneur" des truands me fait braire. Quel Honneur ? Quand le seul, le vrai est, pour commencer, de ne pas faire chier le monde sous prétexte qu'on a un flingue et qu'on sait s'en servir. Le truand est un fasciste qui est tellement con qu'il ne sait même pas qu'il l'est.
Comble du faux-cul, le réalisateur qui prétend ne pas prendre parti. Trou du cul, plutôt ! qui est-ce qui a fait un film sur Mesrine quand on pouvait, sans dommage pour l'histoire de France, oublier définitivement jusqu'à son nom ?
Et ne venez pas me parler de "romantisme" ou je me fâche !
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D'autant plus queAuguste Le Breton (relire "les Hauts murs") a bien montré la connerie de l'idée imbécile de "l'honneur du Milieu"!... La légende des truands est pesante! Cartouche n'étit qu'un malfrat, Mandrin, un vulgaire contrebandier... Mais la ,petite bourgeoisie aime à s'encanailler... On a pu lire comment Lacan, bien inspiré cette fois, a démonté le mythe des soeurs Papin: il faut le faire pour tous ces "bandits d'honneurs" et ne pas oublier que ceux qui les louent ne seraient probablement pas là pour le faire s'ils les avaient rencontrés! Locksley, Robin des bois a dû être aussi monstrueux que Quantrill, "héros" des perdants sudistes ou que l'immonde Jesse James!
RépondreSupprimerBonnot fut un triste con (mais chauffeur de Conan Doyle!)tueur au début d'un modeste employé: l'anti peuple!
Cela dit, le meurtre de MEsrine, cet assassinat n' démontré que l'impuissance d'une police inapte à l'arrêter! Car le capturer vivant, le juger, là, c'est aute chose! D'autant plus qu'il aurait pu dire des trucs... Hé oui...
Lâches!
A quand un film à la gloire de Dutroux?
Et Pasqua, truand répugnant?
Il y a aussi Rouillan!
Ca va être chouette, le cinéma, non?
Hors landau
Vous avez oublié certaines choses "le courage de ces actes" "la lucidité des condamnés" "les promesses tenues" "le courage du desespoir". Chers amis vos commentaires sont étriqués et limitent l'homme a une vision archaique. Des hommes comme mesrine ou comme d'autre qui se sont illustrés en bien ou en mal selon la justice des hommes, ont le mérite d'avoir vécu comme il l'entendait en homme libre et non pas comme des moutons. D'autre part la complextité d'un homme ne saurait se résoudre à dire qu'il est con ou qu'il n'est qu'un voyous. Il vaut mieux avoir a faire a un mesrine qui vous regarde en face que face que tous ces hypocrites ces laches que l'on trouve tous les jours dans la vie et qui n'ont aucun courage ni même celui de voter selon leur opignon personnelles. Sans aventuriers, sans gangster, sans revolutionnaires vous ne seriez que des sous hommes sans liberté sans fierté, et n'oubliez pas la lacheté ca commence ici en critiquant quelque chose ou quelqu'un sans sa presence comme si l'on possedait toute la connaissance du monde. Vive Les films de gangster et les autres vive la vie et la mort et sachez que sans le pecher vous ne sauriez pas que vous etes des hommes.
RépondreSupprimerCher Anonyme,
RépondreSupprimerVotre discours me ravit tant il me rappelle à la fois l'expression du droit à la rédemption façon Bruckberger et le commentaire cinéphile à la manière des "Cahiers" d'une forme d'un prétendu romantisme du film noir ou du western...
Les Mesrine et autres sont à la fois les personnages vivants et les réalisateurs de leurs propres "épopées"... Il n'y a aucune raison de gâcher de la pellicule pour faire leur panégyrique...
Je n'ai en général qu'assez peu le culte du héros (sauf dans des cas bien spécifiques et dont je crains que nous ne partagions pas les valeurs) alors, vous imaginez... un simple malfrat vulgaire...
Mesrine doit son aura posthume à une possible manipulation policière ,un piège semble-t-il. C'est à dire qu'il s'est fait descendre comme un bleu... S'il était encore en vie, en taule , on n'en parlerait même pas...
Le vrai héros fait face à une situation dramatique qui le dépasse et dont l'origine lui est étrangère.
Le truand n'est qu'une aporie : un fasciste indiscipliné.
Romantique, vous disais-je ? Mais non...pire en fait, romanesque. Si ça fait parfois de la bonne fiction ça fait toujours de la mauvaise vie...
Mais ramenons le débat à son juste niveau. Mesrine,ce n'est finalement que "l'Arroseur arrosé"... Petit film comique et muet...
le problème concernant Mesrine n'est pas de défendre le banditisme mais le fait qu'il ait été exécuté avec préméditation par l'état .Pour une démocratie ça la fout mal je trouve . NE PAS OUBLIER POUR CEUX QUI NE LE SAVENT PAS QU'IL N'A TUE PERSONNE ; l'état impose des lois mais s'assoie dessus quand ça l'arrange et utilise la justice pour se blanchir ensuite ; Exécuté au moment d'affaires chaudes pour giscard ; alors toute votre morale de fachos déguisés ,vous pouvez vous la mettre ou je pense . c'est la justice de l'état qui a été rendue dans cette affaire et non celle du peuple . Elle reste donc à rendre .
RépondreSupprimerJe ne savais pas que dans dans un pays prétendument démocratique, l’état pouvait assassiner les gens sans autre forme de procès, fussent-ils gangsters, pour ensuite s’auto-innocenter en inventant spécialement pour l’occasion le concept de légitime défense permanente. c’est chouette le pouvoir ! A l’époque, couverts (et avec leur bénediction) par les politiques, protégés par la justice (n’est t-elle pas sensée être indépendante?)
RépondreSupprimerles cowboys viandards de broussard s’en sont donnés à coeur joie pour flinguer celui qui les avait tant de fois ridiculisés (à 40, armés comme à la guerre contre un seul, et qui plus est attaché et ne pouvant se défendre) ; il fallait bien ça c’est sur . Mesrine était trop intelligent pour eux et ils n’ont trouvé que ce moyen pour s’en débarasser . Il parait que la police française est une des meilleures du monde
(m.a.m. devait en être convaincue…) .
Ah oui ?