Jean-Marc Rouillan est un personnage assez peu intéressant connu pour avoir en 1986 assassiné pour d'assez médiocres raisons et d'une fort lâche manière Georges Besse, PDG de Renault de l' époque. Il a été condamné à perpète assortie d'une période de sûreté de dix-huit ans. Il bénéficie depuis quelques mois, comme tout condamné en fin de peine, d'un régime de semi-liberté. Jusque là rien que de normal, c'est pour tous les condamnés pareil. Le problème c'est que Rouillan qui est un peu con commence à se la péter et à vouloir faire de la politique. Rouillan, faut-il le lui rappeler, n'est pas Mandela...
Or donc, on l'intervioue. Était-ce vraiment utile ? Le fait d'avoir abattu un homme qui n'était même pas armé ne fait de lui ou je me trompe ni un héros ni un maître à penser.
C'est ainsi qu'on lui fait dire, sans qu'il le dise vraiment, qu'il ne regrette rien.
Et c'est là que tout glisse... On veut devant ce refus de repentance le remettre en taule. Et puis d'abord, regretter quoi ? D'avoir descendu Besse ou de s'être fait gauler... Franchement, camarades juges et politiciens de tous poils, vous déconnez ferme... Car ce n'est pas de regrets dont vous voulez parler, mais bien de remords, d'avoir fait, non seulement du mal à Madame Besse, à ses enfants, mais d'avoir fait "Le Mal", commis un péché... "Repens toi, méchant Jean-Marc, demande pardon!". Et puis quoi encore ? Depuis quand doit-on, après avoir purgé sa peine, passer devant le curé pour avouer sa faute, faire contrition et recevoir l'absolution.
Il faudra bientôt, je le crains, au sortir de prison passer obligatoirement par le confessionnal... Le principe de laïcité positive est en route, n'en doutons plus...
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Or donc, on l'intervioue. Était-ce vraiment utile ? Le fait d'avoir abattu un homme qui n'était même pas armé ne fait de lui ou je me trompe ni un héros ni un maître à penser.
C'est ainsi qu'on lui fait dire, sans qu'il le dise vraiment, qu'il ne regrette rien.
Et c'est là que tout glisse... On veut devant ce refus de repentance le remettre en taule. Et puis d'abord, regretter quoi ? D'avoir descendu Besse ou de s'être fait gauler... Franchement, camarades juges et politiciens de tous poils, vous déconnez ferme... Car ce n'est pas de regrets dont vous voulez parler, mais bien de remords, d'avoir fait, non seulement du mal à Madame Besse, à ses enfants, mais d'avoir fait "Le Mal", commis un péché... "Repens toi, méchant Jean-Marc, demande pardon!". Et puis quoi encore ? Depuis quand doit-on, après avoir purgé sa peine, passer devant le curé pour avouer sa faute, faire contrition et recevoir l'absolution.
Il faudra bientôt, je le crains, au sortir de prison passer obligatoirement par le confessionnal... Le principe de laïcité positive est en route, n'en doutons plus...
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la société du spectacle, mon cher....
RépondreSupprimeret puis au fond, qu'ils crèvent tous.
Car, vois tu mon cher PP le radieux, je suis en ce moment de fort méchante humeur. N'oublie pas que je bosse chez les cocos. pas de commentaire, je suis tenue au devoir de reserve alors ..point barre- et pas Raymond, of course, ni Poulidor d'ailleurs. ça y est la fièvre du jeudi me reprend, je file au lit.