- sur la trentaine de petits épiciers que j'ai connus le siècle dernier quand il y en avait encore, les quatre cinquièmes seulement appuyaient sur la balance dès qu'on avait le regard ailleurs.
- sur la cinquantaine de militaires que j'ai croisés, quatre-vingts-dix pour cent dont une femme étaient, je l' affirme, des mecs bien...
- sur les quelque cent profs qui eurent à me supporter, soixante pour cent étaient compétents, dont un tiers étaient pédagogues.
- sur le chiffre d'homos que j'ai connus (au sens biblique ou non du terme), le pourcentage de gens intéressants est exactement le même que celui des hétéros-males qu'il m'a été donné de connaître, le nombre d'enflures, idem.
- sur la débauche de boulangères qui me fournissent, deux sur trois continuent de me demander si je veux qu'elles "me le coupent !" (non, je veux pas !!!)
- sur le nombre pourtant raisonnable de barytons que j'ai connus, il reste, hélas, que cent pour cent étaient et restent, selon l'expression consacrée, cons comme des ténors.
- sur la quantité de surveillants de grandes surfaces actuellement en service, plus aucun ne me suit plus de trente secondes ni ne me cherche noise, "tolérance zéro", comme on dit, de ma part.
- sur le bon millier et demi de musiciens que j'ai pratiqués, tous pupitres ou solistes réunis, quatre-vingts pour cent étaient virtuoses, dont cinquante pour cent inspirés, et six parfaitement géniaux.
- sur les quelques centaines de curés que j'ai fréquentés, trois au moins avaient la foi, dont deux étaient de surcroît, charitables.
Vous voyez bien, tous comptes faits, qu'il faut pas désespérer du genre humain !
- sur la cinquantaine de militaires que j'ai croisés, quatre-vingts-dix pour cent dont une femme étaient, je l' affirme, des mecs bien...
- sur les quelque cent profs qui eurent à me supporter, soixante pour cent étaient compétents, dont un tiers étaient pédagogues.
- sur le chiffre d'homos que j'ai connus (au sens biblique ou non du terme), le pourcentage de gens intéressants est exactement le même que celui des hétéros-males qu'il m'a été donné de connaître, le nombre d'enflures, idem.
- sur la débauche de boulangères qui me fournissent, deux sur trois continuent de me demander si je veux qu'elles "me le coupent !" (non, je veux pas !!!)
- sur le nombre pourtant raisonnable de barytons que j'ai connus, il reste, hélas, que cent pour cent étaient et restent, selon l'expression consacrée, cons comme des ténors.
- sur la quantité de surveillants de grandes surfaces actuellement en service, plus aucun ne me suit plus de trente secondes ni ne me cherche noise, "tolérance zéro", comme on dit, de ma part.
- sur le bon millier et demi de musiciens que j'ai pratiqués, tous pupitres ou solistes réunis, quatre-vingts pour cent étaient virtuoses, dont cinquante pour cent inspirés, et six parfaitement géniaux.
- sur les quelques centaines de curés que j'ai fréquentés, trois au moins avaient la foi, dont deux étaient de surcroît, charitables.
Vous voyez bien, tous comptes faits, qu'il faut pas désespérer du genre humain !
j'aime bien tes comptes,PP le radieux, ils tombent juste ; j'ai vérifié.
RépondreSupprimerje n'ai pas vérifié toutes les catégories citées mais juste en faisant une transposition à ma façon : les épiciers , ok,
RépondreSupprimerles militaires ( j'en ai fréquenté moins que toi mais effectivement j'ai rencontré des gens bien)
les homos femelles.. même constat.
les boulangères, non, c'est clair, car j'achète du pain déja tranché...
quant aux barytons et tenors que nenni, même pas ceux du barreau.
Je cite maintenant les agriculteurs que j'ai fréquentés , à 80 % des escrocs et les chasseurs à 95% débiles mentaux.( ce qui prouve que tous les chasseurs ne sont pas agriculteurs). Bon, en résumé; tout cette compta prouve qu'il reste encore de bonne tranches de rire à venir avec nos colocataires de planète.