Y a des mecs, y a pas à dire, ils sont "raccord", aussi doués pour l'humour que pour la politique. Philippe Meyer, est l'archétype de ce double talent. Depuis des lustres, ce ravi de lui-même se contentait de déverser sur des ondes bienveillantes ou sourdes le médiocre produit de ses besogneuses saillies hebdomadaires ou quotidiennes. Mais voila-t-y pas que son goût du milieu, son tropisme centriste, son sens de l'entre deux, l'ont conduit inévitablement, dans sa quête de la reconnaissance citoyenne par les urnes, à se présenter sous l'étiquette Modem (autrefois quand les partis étaient dignes de ce nom, on disait "sous la bannière"... bientôt on dira "sous le code barre") aux municipales dans le Vème arrondissement de Paris... Bien sûr, c'était prévu, prévisible, comme son ami Bayrou, il s'est vautré, le bovidé de l'humour satisfait, participant par défaut (même pas par action, le con !) à la défaite d'une femme honnête.
Mais surtout, ce week-end et pour une fois, il a fait se marrer au moins une personne, l'humoriste professionnel. Qui donc ? Mais l'immarcescible Jean Tibéri qui par ses bons soins se trouve réélu...
Je vous le disais, qu'il était fendard, le Meyer ! Au point qu'un jour ça va finir par être un terme générique ! Ah , espèce de meyer, va !
.
Mais surtout, ce week-end et pour une fois, il a fait se marrer au moins une personne, l'humoriste professionnel. Qui donc ? Mais l'immarcescible Jean Tibéri qui par ses bons soins se trouve réélu...
Je vous le disais, qu'il était fendard, le Meyer ! Au point qu'un jour ça va finir par être un terme générique ! Ah , espèce de meyer, va !
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire