01 janvier, 2008

2008

Et bien voilà !
J'ai quasiment respecté la trêve des confiseurs !
Je vous souhaite donc une bonne année, en fait, je vous souhaite plus que ça, une année ça fait un peu radin, alors je vous souhaite une bonne vie entière. Soyez rassurés, j'ai pas tout regroupé, non, je recommencerai l'année prochaine, seulement, j'aime pas ratiociner... Voilà, je vous embrasse
BONNE VIE !
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4 commentaires:

  1. Anonyme5:52 PM

    Enfant je détestais le baiser des adultes, ils me faisaient horreur les adultes, les hommes surtout avec leurs poils partout, qui leur sortaient incongrus de leur nez et de leurs oreilles. Je n'aimais guère non plus le baiser des vieilles femmes qui sentaient l'eau de cologne... Aujourd'hui faut qu'un enfant se jette dans mes bras pour que je l'enlace et le couvre de baisers...

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  2. Anonyme9:24 PM

    Y avait aussi le jour le l'an,pas de réveillon chez nous mais on mangeait à midi chez les A... chez "Grimile" le plâtrier.J'aimais beaucoup leur maison.Y avait pourtant au fond du jardin une grotte avec la Vierge de Lourdes en grand apparat.Il faisait chaud dans leur salle à manger rudimentaire, certes! mais accueillante:une table immense,des bancs et quelques chaises dans une pièce presque vide... On jouait avec leurs garçons au nain jaune,aux dominos et autres jeux de société. Ils nous montraient les cadeaux que le "petit Jésus" leur avait apportés. Etrangement,ils ressemblaient à s'y méprendre aux nôtres. Et pour cause, ils avient été imaginés et conçus par nos parents. Quelques mois avant Noël, pères et mères se retrouvaient le soir,à la veillée, dans l'atelier de mon père pour confectionner une ferme, un manège ou autres jeux collectifs...Quel bonheur!

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  3. Anonyme9:06 PM

    IL y a des souvenirs que "les moins de vingt ans ne peuvent pas connaîre"... Le vécu heureux des aînés indiffère les puinés,sans doute une loi universelle!

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  4. Alors ça, je n'en suis pas persuadé du tout... J'ai effectué il n'y a pas si longtemps avec une nièce chérie et à sa demande un parcours du souvenir par un parcours des lieux qui lui était visiblement nécessaire...

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