07 décembre, 2007

Rachida de chez Dior

Si encore elle avait posé nue pour l' encart de Play Boy, de Hustler ou de Lui, j'aurais trouvé ça chouette de la part de Rachida Dati. Peut-être même que dans Lui, elle aurait eu droit comme "chapeau" dans le plus pur esprit de ce journal (pour ceux qui se souviennent) à un subtil : A dada avec Rachida ! Mais là ! Tout de même ! Se faire tirer le portrait comme une bourgeoise endiorisée, c'est d'une indignité absolue. Bon d'accord, elle peut désormais, elle a les moyens, et puis, comme Simone Veil et son Chanel, elle est en âge de s'affirmer, de trouver ses "marques"... Car faut reconnaître qu'elle commence à dater, la Dati... Elle a déjà les zygomatiques qui se relâchent, les commissures, marques de la haine au coin des lèvres, qui s'affaissent... Elle fait déjà veille peau. Mais surtout, surtout il y aura toujours chez elle le coté geai paré des plumes du paon... Le pouvoir ça déglingue à une vitesse ! Le goût de la revanche aussi. Et quoi qu'elle fasse, je sais, c'est injuste, elle aura toujours l'air de sortir de la zone, car, comme je dis souvent, reprenant le, c'est vrai, très ignoble et néanmoins fort drôle Jacques-René Hébert dans le Père Duchesne : "la caque sent toujours le hareng...". Vous allez me dire, pourquoi tant de haine ? On attaque pas les gens sur leur physique, pas plus que sur leur origine ! Pas de haine là-dedans, on attaque néanmoins, car personne ne l'a obligée, la méritocrate, à sortir de son ministère pour aller faire le mannequin chez les riches...
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