Si, si, sur ce coup, je suis sérieux !
Ce matin sur Europe, Elkabbach intervioue le vieux Le Pen. La vermine cacochyme commence à perdre la mémoire au point qu'Elkabbach pour l'enfoncer un peu, l'aide après l'avoir laissé cruellement patauger quelques interminables secondes (l'"extraordinaire orateur" a désormais de neuronales faiblesses) en le lui citant, l'un de ses prétendus bons mots qu'il n'arrivait pas à se remémorer...
Mais là où Elkabbach a été remarquable, c'est lorsqu'à l'issue de l'intervioue, affable, sans violence, il lui a fait comme à la fin d'un banquet à l'hospice pousser la chansonnette. Et le vieux débris est tombé dans le panneau. Tout homme politique digne de ce nom aurait, se drapant dans son écharpe tricolore et dans sa dignité, refusé une telle mascarade : " Vous plaisantez, je ne suis pas ici pour faire le bouffon, mais pour parler des législatives, bref, de l'avenir de la France". Mais non, l'étron s'est glissé de lui-même dans la radiophonique latrine qu' Elkabbach, tel un humoriste (certes imprévisible) mais talentueux et imperturbable, ouvrait devant lui., à se demander si ce n'est pas le gag-man de Nicolas Canteloup qui l'a inspiré quelque peu.... Qu'importe, il la lui a fait pousser, à ce con, la chansonnette... "Y a d'la joie..." a-t-on pu l'entendre glavioter de sa voix éreintée de vieux salopard qui n'a rien compris à ce qu'on venait de lui faire faire...
Ok, même s'il n'y a pas besoin d'un fusil à lunette pour tirer sur une ambulance, bravo quand même à Elkabbach qui l'a fait !Souhaitons qu'il aura la même vivacité vis à vis, je sais pas, moi, d'autres personnages tout aussi douteux malgré leur apparente, fugace et versatile respectabilité...
.
Ce matin sur Europe, Elkabbach intervioue le vieux Le Pen. La vermine cacochyme commence à perdre la mémoire au point qu'Elkabbach pour l'enfoncer un peu, l'aide après l'avoir laissé cruellement patauger quelques interminables secondes (l'"extraordinaire orateur" a désormais de neuronales faiblesses) en le lui citant, l'un de ses prétendus bons mots qu'il n'arrivait pas à se remémorer...
Mais là où Elkabbach a été remarquable, c'est lorsqu'à l'issue de l'intervioue, affable, sans violence, il lui a fait comme à la fin d'un banquet à l'hospice pousser la chansonnette. Et le vieux débris est tombé dans le panneau. Tout homme politique digne de ce nom aurait, se drapant dans son écharpe tricolore et dans sa dignité, refusé une telle mascarade : " Vous plaisantez, je ne suis pas ici pour faire le bouffon, mais pour parler des législatives, bref, de l'avenir de la France". Mais non, l'étron s'est glissé de lui-même dans la radiophonique latrine qu' Elkabbach, tel un humoriste (certes imprévisible) mais talentueux et imperturbable, ouvrait devant lui., à se demander si ce n'est pas le gag-man de Nicolas Canteloup qui l'a inspiré quelque peu.... Qu'importe, il la lui a fait pousser, à ce con, la chansonnette... "Y a d'la joie..." a-t-on pu l'entendre glavioter de sa voix éreintée de vieux salopard qui n'a rien compris à ce qu'on venait de lui faire faire...
Ok, même s'il n'y a pas besoin d'un fusil à lunette pour tirer sur une ambulance, bravo quand même à Elkabbach qui l'a fait !Souhaitons qu'il aura la même vivacité vis à vis, je sais pas, moi, d'autres personnages tout aussi douteux malgré leur apparente, fugace et versatile respectabilité...
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire