Finalement ce Sarkozy, il est pas si mal.( non, je déconne...).
Regardez, les Zapatero, les Prodi, après l'avoir conchié et soutenu Royale, désormais comme le président Bush ( le seul réellement, et c'est terrifiant, sincère) l'embrassent sur la bouche... C'est la preuve non ? C'est la preuve surtout qu'à défaut d'être du même bord, on est d'abord du même monde... Tous pourris ? Mais non, ce serait trop simple... Lâches pour la plupart, en revanche c'est certain... Mais de toute façon, l'élection présente un pouvoir rédempteur. Une fois élu, le candidat qu'on massacrait de sarcasmes devient tabou puisqu'il devient une image, qui serait celle du peuple qui l'a élu... Comme s'il était, ainsi que tous et lui-même le prétendent, le président de tous les français. Mais non, c'est faux ! Le président de la république est et à toujours été celui des x % qui l'ont élu. Je ne considère pas, même s'il est en droit juridiquement de prétendre le contraire, que ce monsieur me représente et jamais ces engagements ne seront forcément les miens en raison de ces élections, fussent-elles tout à fait légales... Quoi qu'il fasse et quoi qu'il dise, Monsieur le nouveau président, comme le furent ses prédécesseurs qu'ils aient été de droite ou de gauche n'est que celui de ceux qui l'ont élu... C'est déja pas si mal... Désolé, mais même s'il l'est légalement, ce président n'est pas le mien. C'est un homme à la tête de la France. Comme le flic au coeur du rond-point, le gendarme au bord de la route, il représente "l'autorité", pas plus, pas moins...
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Regardez, les Zapatero, les Prodi, après l'avoir conchié et soutenu Royale, désormais comme le président Bush ( le seul réellement, et c'est terrifiant, sincère) l'embrassent sur la bouche... C'est la preuve non ? C'est la preuve surtout qu'à défaut d'être du même bord, on est d'abord du même monde... Tous pourris ? Mais non, ce serait trop simple... Lâches pour la plupart, en revanche c'est certain... Mais de toute façon, l'élection présente un pouvoir rédempteur. Une fois élu, le candidat qu'on massacrait de sarcasmes devient tabou puisqu'il devient une image, qui serait celle du peuple qui l'a élu... Comme s'il était, ainsi que tous et lui-même le prétendent, le président de tous les français. Mais non, c'est faux ! Le président de la république est et à toujours été celui des x % qui l'ont élu. Je ne considère pas, même s'il est en droit juridiquement de prétendre le contraire, que ce monsieur me représente et jamais ces engagements ne seront forcément les miens en raison de ces élections, fussent-elles tout à fait légales... Quoi qu'il fasse et quoi qu'il dise, Monsieur le nouveau président, comme le furent ses prédécesseurs qu'ils aient été de droite ou de gauche n'est que celui de ceux qui l'ont élu... C'est déja pas si mal... Désolé, mais même s'il l'est légalement, ce président n'est pas le mien. C'est un homme à la tête de la France. Comme le flic au coeur du rond-point, le gendarme au bord de la route, il représente "l'autorité", pas plus, pas moins...
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Je trouve pour cette fois que tu as tort.
RépondreSupprimerEn mon for intérieur, il n'est bien sûr pas mon président non plus. Pas une once de ses idées ne me correspond.
Mais Prodi, Zapatero et consort font leur boulot légal sur la scène internationale. Ils saluent comme on prend note, c'est dans l'ordre des choses. Même s'ils lui restent opposés (notamment Zapatero, à mon sens), ils devront travailler avec lui puisque la démocratie est ainsi faite…
Par contre, Bush était réellement ravi et il a dégainé vite fait le combiné téléphonique, tu parles !
Enfin un soutien !!
:-)
Mais je n'ai rien dit d'autre... quand je dis qu'à défaut d'être du même bord, ils sont du même monde...
RépondreSupprimerDésolé mais non, tu ne dis pas la même chose que filaplomb. Il ne s'agit pas d'être ou ne pas être du même monde, il s'agit comme le dit filaplomb, de faire son boulot de politique, c'est à dire d'accepter l'altérité et de faire avec.
RépondreSupprimerQuand au fait que sarko n'est pas ton président, cela me parait être une curieuse conception de la démocratie. Soit on pense que l'élection est un mauvais système (comme les mecs de la cnt ou de le fédé anar) et dans ce cas là on ne vote pas. Soit on accepte les règles et on accepte le résultat. Dire "je joue" mais si je ne gagne pas je n'accepte pas le résultat me parait carrément infantile, au sens réel du terme, c'est à dire, au sens où l'entend Jean Gagnepain, irresponsable. A ce propos je te conseille la lecture de cet article de Jean Michel Lebot sur la gauche et la droite qui me parait fort interessant.
http://www.et-omnia-vanitas.net/dotclear/index.php?2007/05/06/41-la-victoire-de-sarkozy-petit-commentaire-a-chaud
M'sieur l'moqueur, sachez que si Zapatero roule une pelle, comme vous dites, à Sarko, c'est juste pour pouvoir dire au bon peuple espagnol : "Regardez, en voici une droite responsable, mesurée, respectueuse du jeu démocratique, pas revancharde, ouverte au dialogue..."
RépondreSupprimerCar on l'ignore facilement en France et ailleurs, mais la droite espagnole est épouvantable.
Epouvantable, M'sieur l'moqueur, et vous n'avez pas idée à quel point. Sarko à côté, c'est un p'tit jésus en culotte courte, et je vous assure qu'on vous l'envie presque.
Non ? c'est vrai ? Aznar aurait été pire que Sarkozy ? Probable , puisque les espagnols l'on viré... Mais tout de même... Puisqu'on reste dans le domaine du pire, c'est pas une raison pour admettre qu'il faut se fader sans rechigner, sans allergie, "Naboléon" pendant cinq ans ...
RépondreSupprimerNon ? c'est vrai ? Aznar aurait été pire que Sarkozy ? Probable , puisque les espagnols l'on viré... Mais tout de même... Puisqu'on reste dans le domaine du pire, c'est pas une raison pour admettre qu'il faut se fader sans rechigner, sans allergie, "Naboléon" pendant cinq ans ...
RépondreSupprimerDe toutes façons,on est d'accord: Viva Zapatero !
Aznar ? Ce vil nabot à la machoire à la "Thunderbirds, les Sentinelles de l'Espace" ? 8 ans d'un long dérapage ex phalange néo libéral, bras dessus bras dessous avec l'église omniprésente. Au moins lui avait eu la légitimité des urnes. Car aujourd'hui l'Espagne entière doit supporter les affres du rejeton, Rajoy, führer bande-mou de l'opposition flanqué de ses deux tueurs, Acebes et Zaplana [les majuscules ce n'est pas par respect, c'est juste pour ne pas confondre avec des burp de dégoût], fameux trio auteur du "un mensonge répété mille fois devient vite une vérité". La société espagnole ne va pas voler en éclat à cause de ses régionnalismes/indépendentismes, mais à cause d'une droite revancharde et criminelle, incapable d'admettre sa défaite 4 jours après les attentats de mars 2004. A vomir, M'sieur l'Moqueur, à vomir.
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