Qu'ils soient hommes ou qu'ils soient femmes, j'ai une certaine tendresse pour les imbéciles certifié(e)s. Catherine Robbe-Grillet est une conne péremptoire et qui serait totalement inintéressante si elle n'était d'une sottise remarquablement catégorielle. Vous savez le respect que j'ai pour tous les experts et toutes les expertes, surtout lorsqu'ils ou elles sont auto-proclamé(e)s. Hélène Carrère-d'Encausse, par exemple, ou Nicole Bacharan, voire Catherine Millet ( grande experte d'elle même) ou Jean-Marc Sylvestre (curieusement l'expertise actuelle est particulièrement féminine). Donc, Catherine Robbe-Grillet est une spécialiste du Sado-Masochisme, pratique à laquelle elle s'est adonnée très tôt, explique-t-elle en sympathique épouse parce que son mari, Alain, dès leur mariage, bandait mou... C'est une écrivaine, mais aussi, comme on dit outre-Rhin, une "Domina". C'est maintenant une vieille dame, et quand elle parle de ses expériences, ça rappelle tragiquement l'érotisme sado-maso de pacotille que moque Bruckner dans "Lunes de Fiel"... Madame Robbe-Grillet a une vision très mondaine des rapports SM... Pour elle c'est une sorte de jeu de société ( de bonne société...) avec des limites, "bobo, mais pas trop", autant éviter la Correctionnelle, voire les Assises... Pas de doute, Madame Robbe-Grillet achète ses fouets à la Redoute, ses pinces à seins au Vert Baudet, ses godemichés à la Samar... C'est une ménagère de l'érotisme pan-pan-cul-cul... Elle ignore, n'en ayant visiblement pratiqué que les simulacres à usage domestique, voire mondain dans ces orgies si terriblement germanopratines, que c'est une chose sérieuse, qui mène souvent "au bout", et que ça ne se limite pas à titiller un fessier de bourgeois (e) avec un fouet, fut-il au mieux de chez Hermès... Le but avéré du SM , c'est de frôler la mort... pas de jouer à touche pipi, même avec des pincettes... Le SM c'est le lieu ou Éros et Thanatos s'amusent (mais alors vraiment !) ensemble...Elle est touchante, bouffonne, Catherine. On lui demande si avec le Sida, il n'y a pas eu augmentation des pratiques SM qui seraient "moins dangereuses que les autres puisqu'elles ignorent la pénétration" ( je vois pas où le journaliste qui l'interroge a vu ça...mais bref ! ). "Oh mais détrompez vous ! Vous savez, une piqûre d'épingle, ça fait couler le sang" ( sic ! ) . Voila le SM selon Catherine l'experte, une "piqûre d'épingle". Mais pauvre fille ! c'est pas du SM ça, c'est du "Point de Croix", du 'Jour d'Angle" : de l'ouvrage de dame !
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Cher Monsieur PP, qu'est-ce que le Jour d'Angle, s'il vous plaît ?
RépondreSupprimerNeurone
C'est l'un de ces travaux d'aiguilles qui font la réputation de nos communes de France, MÔssieur NeurÔne ! Il s'agit en fait d'un principe de broderie particulier au village d' Angles sur l'Anglin dans la Vienne, pour ne rien vous cacher, un peu ma campagne ; il s'agit donc d'une référence personnelle en quelque
RépondreSupprimersorte...
"C'est dans "un des plus Beaux Villages de France", Angles-sur-l'Anglin, que cette technique unique qui consiste à créer des motifs ajourés sur des ouvrages textiles a vu le jour. A l'aide de ciseaux très fins et très pointus, la marqueuse tire des fils sur le sens chaîne et trame du tissu, obtenant ainsi des ouvertures que l'ajoureuse agrémente ensuite, avec du fil et une aiguille, de points spécifiques aux Jours d'Angles. Le support peut être de la soie, du lin, du coton ou tout autre textile à tissage toile. Ce savoir-faire a été créé à Angles-sur-l'Anglin au milieu du XIXe siècle et a prospéré jusque dans les années 50. Plus de 300 ouvrières animaient alors la vie économique du village. Malheureusement, les années 60-70 ont vu péricliter lentement cet artisanat. Pour éviter la disparition imminente de cette technique unique en France, un groupe dynamique de femmes a créé l'association ''Sauvegarde et Rayonnement des Jours d'Angles'' afin d'assurer la pérennité de cet artisanat d'art reconnu depuis le Patrimoine Culturel. L'association ''Sauvegarde et Rayonnement des Jours d'Angles'' dispense son savoir-faire, mais maintient également la production d'ouvrages traditionnels et de création contemporaine d'une exécution irréprochable. L'atelier est dirigé par "un des meilleurs ouvriers de France" qui organise toute l'année à Angles-sur-l'Anglin des stages individuels de différents niveaux , anime également des cours hebdomadaires à Poitiers et à Châtellerault, ainsi que des stages de groupes partout en France. Grâce au soutien de tous, un important projet de "Maison du Patrimoine" devrait aboutir prochainement."(in le site Angle sur l'Anglin)
Notre voisine, à la Châtille, Delphine, faisait des jours d'Angles pour améliorer l'ordinaire. Le soir venu, pour économiser l'électricité, elle montait pour s'y asseoir une chaise sur la table de sa cuisine et se plaçant juste au dessous de l'ampoule, qui ne devait pas faire 40 watts travaillait ainsi jusqu'au coucher...
Voila, on part d'une banale histoire de "pute à fouet" pour se retrouver comme en fin de journal de Jean-Pierre Pernod, à parler artisanat...
Amazing, isn'it ?
je rêve ou mon commentaire à été zappé ici ?
RépondreSupprimerJe n'ai rien zappé, parce que je ne zappe rien... Alors la solution c'est de reposter votre commentaire...
RépondreSupprimerJe l'attends ! Amicalement
"le sm c'est de froler la mort" et bien, c'est vous qui êtes stupide Mr! Le sm, c'est transformer la douleur en plaisir, en extase, et en relisant certaines pages du petit carnet perdu de C.R-G, je retrouve cet extase. pour tous. n'allez pas boboiser (politiser?) l'érotisme...
RépondreSupprimerPolitiser ? Bien sûr que si...
RépondreSupprimerQu'ont fait Sade et Pasolini pour ne parler que de ceux-ci, si ce n'est prendre en compte le champ politique de l'érotisme dans l'une de ses nombreuses pratiques ?
Vous souvenez-vous du le film de Pasolini qui les réunit ? (Salo ou les 120 jours)
Pour ce qui est, comme vous le dites, de "transformer la douleur en plaisir" si j'ai une vision bobo des pratiques SM( elles sont multiples), vous en avez une vision bien angélique...
Bon, on va pas entrer dans détail... Quand vous serez grand(e)je vous expliquerai...
Mon Dieu! Mais qui êtes vous, Monsieur P.P. le Moqueur, pour décider ce que c'est que le SM ou "le but avéré du SM"? De quel droit parlez-vous à la place de tous ceux et toutes celles qui y trouvent leur plaisir? …Et vous osez employer l'adjectif "péremptoire" en parlant de Catherine Robbe-Grillet!
RépondreSupprimerMonsieur P.P. le Moqueur, ce n'est pas que vous pensez mal, c'est que vous ne pensez pas du tout.
(Catherine Robbe-Grillet ne joue pas à touche pipi; moi-même j'ai frôlé la mort à ses mains, pourtant, je ne l'ai jamais entendue ridiculisé qui que ce soit parce que ce qui l'excitait n'était qu'une piqûre d'épingle.)
Cher(e) anonyme
RépondreSupprimerVous m'avez mal lu, votre cagoule vous aveugle...
Je ne parle pas à la place de ceux qui y prennent du plaisir-je suis pour le plaisir quel qu'il soit, mais je m'intéresse aux propos charmants dérisoires d'une prêtresse autoproclamée de pratiques érotiques tout à fait banalisées aujourd'hui, dans le but d'en faire en prétendant les hisser au niveau d'une pratique élitiste une oeuvre littéraire espérée...
Et puis, in fine, de quel droit Catherine R-G se permettrait-elle de ridiculiser quiconque, piercing en direct ou piqûre d'épingle de nourrice ?
Catherine Robbe-Grillet c'est la Mamie Nova des pincettes, la Mère Denis de la gégène...
…Parce que vous la connaissez? Vous avez déjà participé à une de ses soirées? Ou tirez-vous vos conclusions après avoir (mal) lu ses écrits, ou peut-être après l'avoir vue à la télévision lors d'une des ces émissions qui font tout pour divertir, mais rien pour présenter un argument ou encourager un jugement un peu recherché? Ça m'intéresserait de savoir pourquoi votre réaction est tellement vive. Elle ne vous a jamais rien fait, j'imagine, ou ai-je tort?
RépondreSupprimerEt je vous le répète : Catherine R-G ne s'est jamais permise de ridiculiser qui que ce soit, jamais (en dehors d'un contexte très particulier).
Qu'est-ce qu'elle a bien pu vous faire?
Par ailleurs, vous employez les mots "une pratique élitiste"… mais, que voulez-vous dire? Il y a, dans son cercle - entre autres - un bûcheron, à peine lettré, habitant une petite maison au milieu d'une forêt, qui, d'après lui, vit pour ses soins et les fantasmes nés des moments passés avec elle.
Si je vous comprends mal, je vous demande pardon; je suis anglaise avec, parfois, quelques difficultés en français. Ce que j'ai bien compris, c'est que vous avez choisi d'insulter quelqu'un qui n'a jamais insulté, injurié, ou humilié quiconque qui n'en avait pas exprimé le désir.
Je ne porte ni cagoule (ni œillères), en conséquence, étant très proche de Catherine R-G, la connaissant et connaissant ses pratiques, je me considère comme bien placée pour dire que vous vous trompez sur elle.
Béatrice
Chère Béatrice,
RépondreSupprimerVotre français est excellent, vous m'avez donc très bien compris.
Je ne voulais en aucune manière me moquer de vous. Ce "post" déjà ancien faisait suite et ce à chaud, à une émission radiophonique au cours de laquelle Catherine R-G s'était montrée particulièrement ridicule, donc radicalement rigolotte... Je suis désolé, mais elle prenait ce jour là, parlant à des centaines de milliers d'auditeurs, le risque de tomber sur quelqu'un qui se marre en l'entendant... Je n'ai rien contre Catherine R-G que je ne connais pas, mais j'ai ce jour-là entendu à la radio une réelle,jubilatoire conne qui portait son nom...
C'est vrai que Robbe-Grillet n'était pour moi qu'un nom respecté dans la sphère littéraire, celui de son mari et qui avait quelque peu occulté le sien...(je sais c'est injuste, mais c'est comme ça)
Pour ce qui est des pratiques SM en général, je ne ferais état ni de mes connaissances ni de mes habitudes ni de mes goûts en la matière, considérant, contrairement à votre vieille amie qu'il n'est pas intéressant d'en parler, à fortiori en public.
Je me fous totalement de ce que Catherine R-G bricole avec sa trousse à couture... Mais j'ai quand même le droit de me fendre la gueule lorsqu'elle en parle à la radio et surtout de la manière dont elle en parle...
Bien sadiquement mais amicalement votre !
Cher P. P. le Moqueur
RépondreSupprimerCe n'est pas du sadisme de votre part, mais de la méchanceté, toutefois, vous avez parfaitement raison : quand on s'exprime en public, on peut s'attendre à ce que quelqu'un "se fende la gueule" comme vous le faites tellement bien. Heureusement, Catherine n'a pas internet, elle ne saura donc jamais ce vous avez écrit sur elle (au moins, je l'espère); elle ne le mérite pas.
Béatrice
Chère Béatrice,
RépondreSupprimerBien sûr qu'il n'y a pas de sadisme, mais pas plus qu'il n'y a de méchanceté.
Je rends hommage en revanche à votre fidélité en amitié. Même si elle est un peu celle des adeptes envers leur gourou, "indéfectible",c'est normal, le "maître" a toujours raison... votre fidélité reste sympathique donc respectable.
Mais si vous la connaissez, ne la laissez pas se répandre sur les ondes, elle fait sous elle... alors tant qu'à faire, gardez-la pour vos amusements ondinistes...
Bon, sur ce, je vous laisse, j'ai une "vacubed session" qui m'attend à la cave...
Ok je déconne !
Bien amicalement
Mes respects, Monsieur P. P. le Moqueur.
RépondreSupprimerAmicalement
Béatrice
Moi qui suis d'une douceur affolante, donc éloignée des pratiques de Sacher et de Donatien-Alphonse, j'ai adoré vous lire brocarder les travaux d'aiguilles SM de la Robbe-Grillet. Oui, elle est pitoyable. Mais qui vous a donc dit qu'elle était écrivain? Pèse-t-elle un rien dans le paysage culturel français? Il me semblait qu'elle se contentait d'être Madame de, sans finesse et sans désespoir. Rien à voir avec Louise de Vilmorin, bien sûr. Vous lire, PP, m'a aussi prouvé que vous avez la même culture que moi : poitevine ! Ah, les jours d'Angles !
RépondreSupprimerAh ! Chère Julie
RépondreSupprimerNon seulement je connais le Jour D'Angle, mais puisque nous sommes "pays", et que le lieu est proche, je me délecte aussi vous avez du le lire, de Pouligny...
Blague à part, La veuve Robbe Grillet m'avait agacé quand je l'entendis à la Radio. Je me suis demandé aussitôt comment un type aussi fin aussi drôle que son écrivain génial de mari pouvait supporter quotidiennement une telle plaie.
Elle me rappelle le personnage qu'interprète Emmanuelle Seigner dans "Lune de Fiel"...
Voilà chère Poitevine et merci de votre visite !
Cher P.P. le Moqueur
RépondreSupprimerJe ne connais pas l'œuvre de Catherine Robbe-Grillet et c'est à l'occasion d'une requête Google sur elle que je tombe sur votre commentaire.
Avec un tel pseudo, il est bien naturel que vous vous moquiez.
Si j'ai bien compris, c'est à l'occasion d'une émission de radio que vous la trouvâtes ridicule.
Il se trouve que je viens visionner une de ses émission sur France 3 (à l'adresse suivante : http://www.dailymotion.com/video/x8ffxj_csoj-le-sadomasochisme-scandale-com_news ) et le ridicule est surtout du côté de ce pauvre Pierre Combescot -écrivain- baudruche pleine de fatuité là où il imagine de l'esprit, incapable de rester dans le fil d'une conversation aveuglé qu'il est par le mirage de ses propres fulgurances.
Je ne vais pas gloser sur les termes sadique, masochiste, SM, Domination/soumission, BDSM, échange de pouvoir, etc...
La chose est complexe et ce flou sémantique dénote une profusion d'approches distinctes.
Et, sans vouloir vous blesser, ce que vous affirmez
"Le but avéré du SM , c'est de frôler la mort... pas de jouer à touche pipi, même avec des pincettes... Le SM c'est le lieu ou Éros et Thanatos s'amusent (mais alors vraiment !) ensemble..."
est totalement péremptoire : si 2 pour cent des pratiquants réels ont pour but avéré de frôler la mort, je veux bien me faire passer pour un inconditionnel de Pierre Combescot.
Cette description du SM est pure projection fantasmatique.
Les dires de Catherine Robbe-Grillet sont loin d'être universels mais ils s'appuient au moins sur une pratique vécue. Qu'elle soit ou non une petite bourgeoise décadente importe peu, elle contribue à rendre familière cette composante là de la sexualité.
Sylox
Mais le SM en fait les SM tant il y a de pratiques et de tendances diverses n'est-il pas avant tout un fantasme ? d'où effectivement, la possibilité de projections fantasmatiques...
RépondreSupprimerEn fait, ce qui me gonflait, ce jour-là, dans l'histoire de la veuve Robbe-Grillet, c'est son coté "Domina experte" autoproclamée... son coté Baronne Staff des bonnes manières sado-maso... Bref de la tchache salonarde...
Je pense qu'il est plus intéressant de pratiquer la chose que d'en parler, qu'on soit Catherine R-G ou Combescot... sauf si l'on a comme projet d'en faire un fond de commerce littéraire ou radiophonique...
Cher Monsieur,
RépondreSupprimerIl se trouve que j'étais hier invité à un anniversaire ou était présente cette très chère Catherine…
Je dois dire que vous êtes assez désobligeant de critiquer cette pauvre "tati Danielle" qui fait bien des efforts pour que l'on continue à parler d'elle! Y compris accepter l' invitation d'un inconnu, dîner fort tard et assez mal au milieu de gens qui ne la connaissent/reconnaissent pas bien qu'elle ait fait l'effort d'amener sa soumise qui a elle même amené sa soumise. Le mimétisme faisant son œuvre on se serait cru au parc d'acclimatation un dimanche après midi avec la grand mère, la fille et la petite fille….
Ceci dit je ne puis e prononcer sur la qualité de ses pratiques puisqu'elle n'a fait que manger et s'entretenir, faute de mieux, avec ses deux accompagnatrices qui n'avaient de cesse de la combler de "vous êtes notre mère à toutes". Et bien à toutes sauf à moi ;-)
Franchement vous devriez respecter son âge a défaut de pouvoir vanter ses qualités littéraires ou de l'intérêt du contenu de ses ouvrages….
La question qu'il faut se poser maintenant est: laquelle de ses soumises va hériter du pactole?
Bien à vous,
Anne
et oui, chère Anne , vous avez tout dit, puisque vous semblez être du cercle rapproché ( le 1°, le 2° ,j'y perds mon "Salo"...).
RépondreSupprimerMoi ce qui m'intéresse (enfin ...) c'est comment, étant "sm d'un jour, sm toujours" on passe du cuir à la couche confiance, du sling au déambulateur...
Je suis cruel, vous aussi et ce ne sont pas les vestales du panpan-cucu mondain qui vont nous le reprocher ... enfin j'espère...
Pour ce qui est du magot, y en a un ?
Bien à vous, tout autant
Monsieur, PP le Moqueur. Je ne sais ce qui m'a pris ce soir à près de minuit de faire une recherche sur Catherine Robbe-Grillet, une réminiscence sans doute, cela étant je suis tombé sur votre délicieuse littérature. J'ai ris oui à près de minuit et je me dis que tout n'es pas perdu puisque, cher Monsieur, vous êtes là. Madame Robbe-Grillet et ses aiguilles sont ridicules, en effet, et ses "esclaves" ridicules de mêmes. Une fois, à des heures semblables, je l'avais entrevue à la télévision, j'ai bien failli en mourir de tant rire. Cette brave dame qui parlait tel une dame patronnesse, c'était donc ça la fameuse Robbe-Grillet. Je n'ai eu aucun frison, du déplaisir, une espèce, très rare, de répulsion, et puis le rire. Merci encore cher Monsieur.
RépondreSupprimerA pp le moqueur...
RépondreSupprimerVous n'êtes qu'un triste sire qui s'abreuve de choses qu'il ne connait pas. Arrêter de déverser vos connaissance livresques sur un sujet que vous ne maitrisez pas.
C'est facile de tirer à bout portant et de faire " le moqueur" pour aller finalement dans la ligne des "biens pensants" Oui elle est agée et alors? Oui elle est domina et alors? n'en déplaise a votre humour de basse fosse. Allez jouer
à touche pipi c'est de votre niveau. Ne prenez pas la peine de répondre. Vu la qualité de votre prose , il y peu de chance que je vous lise encore. Persiste et signe Bauto.
e
Mais non ! Bien sûr que vous allez me lire au moins une dernière fois, autrement vous ne m'auriez pas écrit ces fadaises.
RépondreSupprimerJe rigolais de la veuve Robbe-Grillet, parce que c'est ou c'était une domina d'opérette...
Son mari, sans lequel elle n'aurait jamais acquis aucune de ses petites notoriétés avait, lui, le sens de l'humour ce qui n'était pas le cas de sa "légitime", pas plus que ce ne semble être le votre...
M. Le Moqueur, vous êtes plus encore plein de vous-même que les gonades d'un soumis dans une birdcage.
RépondreSupprimerTout ce foutre rance et acide a fini par vous gâter les neurones. Songez à vous épancher un peu plus de la dextre et moins maculer la toile de vos pénibles séances d'onanisme bloguistique face au miroir de votre suffisance.
Un baillon à votre clavier et une bonne séance de flogging sur votre arrière-train de vaniteux vous allégerait d'un peu de morgue.
23 commentaires pour un simple billet d'humeur à propos de la Mamie Nova du martinet, de la Mère Denis du spanking, la Jackie Sardoux de la pince à seins, je n'imaginais pas le jour où je la moquai un peu, que j'allais déclencher ce foutoir de muqueuses !
RépondreSupprimerJ'avais décidé d'arrêter de publier les commentaires à propos d'un post très ancien consacré à cette pauvre et j'imagine, désormais nonagénaire domina d'opérette.
Mais j'avoue, le style ébouristouflant de votre commentaire tout anonyme donc un peu lâche qu'il soit, vrai festival baroque de formules éculées et un poil injurieuses me fait le publier d'urgence. Apothéose amphigourique, il clôturera donc en beauté ce spicilège d'hommages rendus à celle qui n'eût d'autre talent que celui d'avoir côtoyé un génie.
Tous comptes faits, c'était peut-être un bon coup la Catherine, position du missionnaire, s'entend...