Royal et Bayrou sont persuadés, même en l'absence de preuves, de l'intervention du candidat de l'UMP auprès de la presse régionale puis de Canal + pour empêcher leur débat. La preuve per absurdo qu'ils ont raison a été apportée par le président du CSA. Ce dernier a en effet, plein de bonnes intentions et voulant prouver l'innocence du candidat de la droite, précisé que de toute façon, il n'y avait aucune objection à la tenue de cet hybride face à face à condition qu'on offre à la partie adverse un temps de parole équivalent. Ce qui prouve donc que si le PDG de Canal + dont on est en droit d'imaginer qu'il connait les règles a refusé d'accueillir les deux protagonistes, ce n'est pas par crainte de trangresser la loi, mais bien par peur de déplaire... CQFD...
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Tout à fait !
RépondreSupprimerJe pense que ce que craint le candidat de l'UMP et du gouvernement sortant, ce n'est pas ce débat Ségolène Royal-François Bayrou mais bien que cela légitime un autre débat entre lui et le béarnais.
Il aurait alors face à lui un ancien collaborateur revenu à la raison et aurait bien du mal à paraître nouveau !
Non ?
:-)
Ben oui !
RépondreSupprimerOn ne diabolise pas le candidat du l'UMP.
Peut-on diaboliser le diable ? Il est bien assez grand pour s'en charger
lui-même