Ca y est ! Vous pouvez ouvrir la première fenêtre de votre Calendrier de l' Avent et croquer le petit chocolat qui se trouve à l'intérieur. Plus que 24 jours plus les huit jours qui suivent, soit trente deux jours, avant d' être débarrassés .
Quoi ? Comment ? Vous n'aimez pas Noël ?
Non je n'aime pas Noël, je hais Noël. Et ce n'est pas cette invention récente du calendrier de l'Avent , ou plutôt son importation vers l'ouest qui va me réconcilier avec Noël ...
De ma petite enfance jusqu'à mes trente deux ans révolus, chaque année, du 20 décembre au 2 janvier, j'ai eu de la fièvre ! Malade que j'étais. Atteint de ce que j'appelle le syndrome de Proserpine, (j'avais dans une vie antérieure suggéré à un psy ce concept qu'il avait écarté avec dédain...tant pis ! ) prêt à passer six mois sous terre avant de revivre au printemps. Noël était une fête triste... Et j’ai toujours eu, étant interdit de Père Noël, beaucoup de mal à croire que c’était le petit Jésus qui se fadait la tournée des joujoux... En plus il fallait à chaque fois me souvenir de tous les petits enfants qui n’avaient pas ma chance.
Beurk ! Noël... Vomir !
J’ai toujours préféré, dans le calendrier chrétien, Pâques à Noël. J’aimais beaucoup Pâques. C’est déjà le printemps, y a des paquerettes partout, on revit, les sens sont en éveil, ça sent, ça échauffe, et même quand on est enfant, la libido pointe son nez... et à l'occasion, mangeant du chocolat on se gâve de magnesium... et puis la fête chrétienne est tellement païenne qu’elle me convenait bien mieux. J’ai toujours préféré aller chercher les oeufs dans l’herbe humide du jardin que d’aller ramasser mes jouets aux pieds de ... la crèche....
Alors Noël... tiens, je préfère parler d’autre chose, je sens déjà monter la fièvre ...
Non je n'aime pas Noël, je hais Noël. Et ce n'est pas cette invention récente du calendrier de l'Avent , ou plutôt son importation vers l'ouest qui va me réconcilier avec Noël ...
De ma petite enfance jusqu'à mes trente deux ans révolus, chaque année, du 20 décembre au 2 janvier, j'ai eu de la fièvre ! Malade que j'étais. Atteint de ce que j'appelle le syndrome de Proserpine, (j'avais dans une vie antérieure suggéré à un psy ce concept qu'il avait écarté avec dédain...tant pis ! ) prêt à passer six mois sous terre avant de revivre au printemps. Noël était une fête triste... Et j’ai toujours eu, étant interdit de Père Noël, beaucoup de mal à croire que c’était le petit Jésus qui se fadait la tournée des joujoux... En plus il fallait à chaque fois me souvenir de tous les petits enfants qui n’avaient pas ma chance.
Beurk ! Noël... Vomir !
J’ai toujours préféré, dans le calendrier chrétien, Pâques à Noël. J’aimais beaucoup Pâques. C’est déjà le printemps, y a des paquerettes partout, on revit, les sens sont en éveil, ça sent, ça échauffe, et même quand on est enfant, la libido pointe son nez... et à l'occasion, mangeant du chocolat on se gâve de magnesium... et puis la fête chrétienne est tellement païenne qu’elle me convenait bien mieux. J’ai toujours préféré aller chercher les oeufs dans l’herbe humide du jardin que d’aller ramasser mes jouets aux pieds de ... la crèche....
Alors Noël... tiens, je préfère parler d’autre chose, je sens déjà monter la fièvre ...
Cher pp,
RépondreSupprimerUne question, toute personnelle: Que s'est-il passé après votre 32 ième anniversaire, quand vous en aviez donc 33 (?!!!) comme vous savez qui, pour que Noêl vous soit sinon jubilatoire du moins supportable?
Affectueusement, un à qui Noël fout aussile bourdon.
Je n'en sais rien, et puisque j'allais mieux, je fis ainsi l'économie d'un psy qui m'eût donné la clé du mystère...
RépondreSupprimerBises !
Et cette année, Noël sera-il supportable (si vous le passez avec des gens de bonne compagnie )?
RépondreSupprimerMais je le passe toujours avec des gens de bonne compagnie, c'est pas la question... La question c'est pas Noël en soi, c'est la période dite des "Fêtes". Je déteste tout autant le Nouvel An ....
RépondreSupprimerEt quelle compagnie! Ne m'en parlez pas. Bises
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