Dans le sentier qui mène au bout du corridor,
Ourlé de vains espoirs et d’intentions lascives,
Un lourd tapis de charmes attend que des doigts d’or
Délient enfin les nœuds de ses pensées trop vives.
Au creux du vestibule on découvre, transi,
Un amoureux, bien sûr, dans un lit d’herbes vertes,
Soucieux de vérifier tous les points sur les i,
Les oreilles bien closes et les passions ouvertes.
Dans la chambre l'on voit, suspendus à un lustre,
De vieux effets de voix fort chargés de catarrhe ;
Et surprenant son monde et devant un balustre,
Un chat rayé de bleu qui touche une guitare...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire