Il y a quelques minutes, en rentrant du marché (et oui , je vais parfois au marché), je passe devant un mur, et sur une corniche qui court le long de ce mur, à hauteur de mes yeux, il y a un oiseau.
A part les moineaux, les mésanges, les rouges-gorges et les hirondelles (qu'il m'arrive parfois, comme à tout un chacun, de confondre avec les martinets) , je ne reconnais pas les oiseaux...
Et là d'un seul coup, j'ai un flash... C'est le chardonneret de Fabritius* qui me saute aux yeux...
J'ai donc identifié cet oiseau, grace à un tableau grand comme un mouchoir de poche, d'un peintre flamand du XVII° accroché au Mauritshuis de La Haye.
Juste pour vous dire que la peinture à l'huile, vraiment, c'est bien utile !
N'est-ce pas Sorella ?
* Extraordinaire peintre qui mourut dans la prime trentaine, victime en 1654 de l'explosion de l'arsenal de cette belle ville de Delft où il avait malencontreusement élu domicile et qui n'eut décidemment pas de chance puisqu'une partie de son oeuvre rescapée du premier désastre disparut dans l'incendie du musée de Rotterdam en 1864 ... Quand on voit le nombre de tableaux de Couture, Bouguereau, Baudry, Buffet ou de Combas et autres Di Rosa(s) pour ne parler que des "académiques", de nos pompiers à nous... (et bien d'autres, honnêtement...) qui sont encore visibles... on se demande ... enfin bref ! Et Dieu dans tout ça !
A part les moineaux, les mésanges, les rouges-gorges et les hirondelles (qu'il m'arrive parfois, comme à tout un chacun, de confondre avec les martinets) , je ne reconnais pas les oiseaux...
Et là d'un seul coup, j'ai un flash... C'est le chardonneret de Fabritius* qui me saute aux yeux...
J'ai donc identifié cet oiseau, grace à un tableau grand comme un mouchoir de poche, d'un peintre flamand du XVII° accroché au Mauritshuis de La Haye.
Juste pour vous dire que la peinture à l'huile, vraiment, c'est bien utile !
N'est-ce pas Sorella ?
* Extraordinaire peintre qui mourut dans la prime trentaine, victime en 1654 de l'explosion de l'arsenal de cette belle ville de Delft où il avait malencontreusement élu domicile et qui n'eut décidemment pas de chance puisqu'une partie de son oeuvre rescapée du premier désastre disparut dans l'incendie du musée de Rotterdam en 1864 ... Quand on voit le nombre de tableaux de Couture, Bouguereau, Baudry, Buffet ou de Combas et autres Di Rosa(s) pour ne parler que des "académiques", de nos pompiers à nous... (et bien d'autres, honnêtement...) qui sont encore visibles... on se demande ... enfin bref ! Et Dieu dans tout ça !
Interesting....
RépondreSupprimer:-)
Grazie, Federico , mais je ne parle pas, à mon grand regret italien...
RépondreSupprimeralors que visiblement vous maîtrisez le français.
Merci de votre appréciation,
Ah! au fait, pourquoi avez vous, vous, italiens, et depuis si longtemps supprimé le premier "r" de "F(r)ederico que nous avons si soigneusement gardé en français ?
Amicalement
Cela dit, Fabritius est vraiment étonnant !
Oui, cher PP, la peinture à l'huile c'est bien utile et difficile aussi,c'est bien connu. Mais connaissant votre esprit..moqueur,comme votre nom l'indique et ignorant tout de "Fabritius" j'ai tout suite pensé, en voyant le titre de votre blog, que notre bien aimé Fabius allait en prendre pour son grade. Vous voyez où mène l'ignorance.
RépondreSupprimerBises
Chère utilisatrice
RépondreSupprimerFinalement, moi qui vous pousse à agrandir vos formats, je suis en pleine contradiction, car le tableau en question , comme je le dis, logerait facilement dans le tiroir de votre coiffeuse, celle devant le miroir de laquelle vous rangez avec soin vos fards, vos rouges à lèvres et vos poudres de riz.
Bises
10:49 PM
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