C’est dans l’azur qu’on voit les anges
Dit-on parfois aux enfants sages,
Leurs ailes douces comme langes
Perdent des plumes à leurs passages…
Dieu porte une barbe très blanche.
Il est assis sur un nuage
Et de sa main droite il déclenche
La pluie, le soleil et l’orage.
Zeus autrefois par sa puissance
N’a pas, que l’on sache, fait mieux,
Lui qui commandait de naissance
Aux héros, aux déesses, aux dieux.
Dieu préfère les anges incertains.
Sont-ils femmes ? hommes ? ou bien les deux ?
Il les roule au creux de ses mains,
En un jeu de dés hasardeux.
Mais la morale reste sauve
Car Dieu qui n’est pas sot je crois,
Sait très bien qu’à l’instar du mauve
L’homme est bleu et rose à la fois…
voila...
quel beau poème, cher PP! et sans doute comme d'habitude sans effort.
RépondreSupprimerTu parles !
RépondreSupprimerDes larmes et du sang !
et un travail énorrrrrrrrrrme !
Bises !
PS.J'en mettrai d'autres, si ça vous plait.
Mais oui, c'est tout simple, au départ il y a du bleu ou du rose. Si le mêlange est fait de proportions égales de bleu et de rose ça donne du mauve mais il se peut qu'il y ait un peu trop de bleu ou un peu trop de rose, eh bien voilà...!
RépondreSupprimerBises
Et oui !
RépondreSupprimeret c'est ça qui permet les nuances !
Bises encore