28 mars, 2006

"Fort-chabrol dans le 7ème", suivi de courtes métaphores balistiques et vestimentaires

Il y a, dans un hôtel particulier du 7° arrondissement, un homme chic et seul qui refuse de se rendre... même à l'évidence.

A la rubrique des faits divers, on appelle ça un "fort-chabrol", l'homme en question un " forcené"...

Pas de G.I.G.N. pour le déloger, mais juste deux millions de personnes dans les rues.

Il suffirait, pour éviter un drame, qu'il dépose son calibre 49/3, désamorce son arsenal juridique et détruise les bombes qu'il a placées sous le code du travail et les scuds dirigés contre le CDI.

Mais le psychopathe s'entête. On attend qu' un ami, un parent, qui sait, sa femme, ses enfants ! le ramènent à la raison, mais le peut-on encore ? Certains parmi les siens agitent le drapeau blanc en souhaitant qu'ils s'obstinent... D'autres le poussent au pire et s'éloignent en douceur... Et ceux du clan adverse ont, et ils ont bien raison, les mêmes désirs...

Car le grand manipulateur est,comme souvent, manipulé...

Il faudrait qu'il se rende... et rende son tablier.

Mais rendre son tablier, c'est une autre paire de manches, quand, bien droit dans ses bottes, on porte le chapeau...

Allez ! une simple camisole fera l'affaire !

Certains d'entre vous ( d'entre nous ) se souviennent sans doute de ce qu'on représenta longtemps , et ce grâce au "Canard", Michel Debré père des Debré actuels, jamais autrement qu'un entonnoir sur la tête...


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